Si on adore dénicher des pépites rétro en brocante ou sur internet, chiner chic est un art qui s’apprend. Depuis plusieurs saisons, l’univers de la décoration d’intérieur se passionne pour la seconde main. Une tendance qui met en lumière un véritable désir de renouer avec nos racines, de consommer plus raisonnablement ou tout simplement de remettre au goût du jour des pièces que l’on pensait oubliées. La chine
En 2025, l’art de la table se réinvente. Si depuis plusieurs saisons, la barbotine et l’argenterie offrent une nouvelle dimension à nos dîners, il semblerait que les envies changent rapidement, même du côté de la seconde main. Après le retour de la vaisselle feuille de choux et celle du beurrier, c’est au tour de la soupière de connaître sa nouvelle heure de gloire. On l’aime en faïence, en porcelaine et surtout ornée de motifs anciens pour un retour en enfance des plus désirables. Vendues entre 15 et 50 euros selon les modèles et les maisons dont elles sont issues, les soupières s’imposent comme des objets à la fois pratiques et design. Pour un esprit plus moderne, on détournera leur fonction première pour les muer en jolies corbeilles de fruits, en vide-poches rétro ou encore en bibelot dans lequel dissimuler ses trésors.
Il y a aussi la chauffeuse qui s’impose comme l’allié de taille pour un intérieur cosy. À mi-chemin entre le mini-sofa et le maxi-fauteuil, cette assise confortable a tout pour plaire, surtout aux petits espaces. c’est « le nouveau canapé ». Un modèle qui semble plus en vogue que les autres. : Roche Bobois à la cote en ce moment
